Aujourd’hui, les auteurs nous présentent les travaux du Dr Joe Dispenza, chiropraticien et éducateur américain dans le domaine des neurosciences.
Ce dernier affirme que:
La plus grande habitude que l’on puisse perdre est celle d’être soi-même.
Belle coïncidence!
Alors qu’hier je vous demandais si vous vouliez vous épouser? Le Dr Joe Dispenza est l’auteur d’un livre intitulé Rompre avec soi-même.
La base line me rassure. Rompre avec soi-même, pour se créer à nouveau.
Ok, nous nous entendons sur l’idée de reconnecter avec son moi profond. Qu’il s’agisse de le créer ou de le retrouver car il est ancré en nous depuis notre naissance n’est finalement qu’une question de point de vue ou de croyances…
Le Dr Joe Dispenza préconise de travailler notre neuro-plasticité afin de créer de nouveaux circuits neuronaux qui nous permettent de détourner nos croyances et habitudes anciennes.
Le défi du jour consiste à utiliser la visualisation; il s’agit de voir et ressentir intérieurement, les éléments, vitamines, protéines, contenus dans l’assiette que nous sommes entrain d’ingurgiter. Ceci pour ressentir tous les bienfaits des nutriments que nous avalons.
Avant de vous dire comment je l’ai vécu, quelques explications sur les bienfaits de la visualisation.
La visualisation, qu’est ce que c’est?
Si vous avez 1H54 devant vous, je vous propose de regarder la vidéo de la conférence du Dr Joe Dispenza organisée et filmée par la Télé de Lilou en cliquant ici.
Sinon, je vous livre les 5 premières minutes par écrit:
Combien de personnes dans cette assemblée pense que la façon dont vous pensez affecte votre réalité?
Combien de personnes se sont réveillées ce matin et ont consciemment créé leur futur?
Savez-vous pourquoi la plupart des gens ne le font pas? Parce qu’elles pensent que ce n’est pas vrai, que cela ne marche pas.
Si vous saviez que vos pensées affectent votre vie, vous n’oublierez pas une seule journée de créer votre futur!
Et vous ne laisseriez passer aucune pensée dans votre conscience dont vous ne voulez pas faire l’expérience.
Combien de personnes pensent que votre pensée crée votre réalité?
En une journée 60 000 à 70 000 pensées nous traversent l’esprit.
90% sont les mêmes que la veille.
Les mêmes pensées conduisent aux mêmes choix,
Les mêmes choix conduisent aux mêmes comportements,
Les mêmes comportements conduisent aux mêmes expériences,
Les mêmes expériences conduisent aux mêmes émotions,
Ces même émotions dirigent vos pensées, et votre circuit neurologique, vos états hormonaux et jusqu’à votre expression génétique,
Le tout créant votre réalité.
Wahoo! Le décor est posé. Le Dr Dispenza nous invite à potentialiser notre cerveau en l’entraînant chaque jour. Si je pouvais résumer en une phrase je dirai:
Créer consciemment nos pensées nous permet de créer consciemment notre réalité.
Formée en Programmation Neuro-Linguistique moi-même, j’utilise régulièrement la visualisation. Je n’avais cependant jamais eu l’idée de l’appliquer à ce que j’ai dans mon assiette.
Je l’utilise notamment pour désamorcer une peur de l’inconnu.
Au cours de ma carrière professionnelle, j’ai présenté de nombreux concours et examens. Systématiquement, je me rendais sur les lieux des épreuves la veille (ou le matin même lorsque j’étais convoquée l’après-midi) pour me familiariser préalablement avec les lieux.
Ensuite, dans ma chambre d’hôtel, je visualisais l’épreuve depuis mon réveil jusqu’à l’heure de fin. Je me voyais, me lever, m’habiller (avec la tenue précise que j’avais choisie), petit déjeuner, me rendre à l’épreuve, attendre dans la salle… Cela m’a toujours beaucoup aidé – c’était de la préparation mentale.
Aujourd’hui, je l’utilise systématiquement quand j’ai une journée chargée au cours de laquelle … il ne faut aucun grain de sable dans la machinerie…
Je vous explique comment précisément la visualisation me permet de planifier mon temps pour m’organiser de façon optimale dans mon bonus « Créez votre bullet journal pour organiser et optimiser votre rentrée ».
J’ai testé aujourd’hui la visualisation des apports nutritionnels des aliments que j’ingurgitais.
Résultat, je n’ai pris aucun plaisir à ce que je mangeais.
Non pas que la technique m’ait gênée, bien au contraire.
J’ai eu beaucoup de peine à visualiser des apports nutritionnels à haute valeur ajoutée car j’ai relativement mal mangé aujourd’hui.
- Yaourt allégé ce matin … il n’avait pas vraiment de goût …
- Biscottes + pâte à tartiner … certes BIO mais j’avais l’impression de ne manger que du sucre …
- Mc Do à midi … No Comment … Le WRAP Veggie est tout de même accompagné d’une sauce et il y a plus de wrap que de veggie …
- Du coup, une grappe de raisins frais au dîner qui m’a parfaitement satisfaite.
Cet exercice a eu la vertu réelle ou conscientisée, je ne sais pas encore, de me rendre responsable de l’intérêt nutritionnel pour mon corps de ce que j’étais en train d’ingurgiter.
Il y aura sans doute quelques deuils à faire…
Cet exercice aura eu la vertu de me mettre face à mes réalités comportementales.
Se donner bonne conscience en mangeant un wrap veggie n’a pas fonctionné en tout cas.
La rupture avec moi-même prend soudainement tout son sens. Merci Dr Dispenza.